Une fois passée les quarante premières pages, partie consacrée par Balzac dans chacun de ses romans pour la fonction diégétique, le livre révèle une véritable nature lorsque l'action commence. On découvre alors un univers entier que Balzac décrit en intégralité et avec un réalisme inouï. Chaque personnalité est une véritable étude critique des mœurs de l'époque contemporaine au roman, toujours valable aujourd'hui.

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Une fois passée les soixante dix premières pages, qui sont exclusivement reservées à des descriptions, l'action se lance crescendo pour nous peindre pas moins d'une dizaine de personnages, tous en rapport les uns par rapport aux autres et chacun incarnant un milieu social, un tempérament, une passion. Un livre qu'on ne lit pas de soit-même mais qui a un réél interêt puisque c'est l'une, si ce n'est LA, plus grande oeuvre de la littérature française.